Comment jubiler à peu de frais

Ma logique de gouvernement cette année fait qu'au niveau affaires courantes, je passe pas mal de temps dans le train, en moyenne deux heures par jour sur l'aller-retour.

Cela me conduit sur mon lieu de travail ou chez moi mais c'est pas ça que je voulais dire certaines fois où je suis "à jour" question boulot en terme de rédaction de notes et autres comptes rendus, de traitement de dossiers etc.. à prendre le plaisir de la lecture, sans sombrer dans le magazine, exception faite de J*zzman ou J*azzmagazine...

C'est ainsi que toujours à l'affût d'une pépite "oulipienne" ou assimilée, j'ai lu mardi avec une intense jubilation et une franche hilarité ceci :

Un moment de pur plaisir littéraire par ce diablotin facétieux de  Pérec qui, toujours dans le cadre d'écriture avec contrainte et avec sa propre logique "d'épuisement des possibles" qui traverse son oeuvre, nous emmène sans coup férir (et sans ponctuation) à envisager toutes les possibilités qui peuvent se présenter dans la situation clairement énoncée dans le titre.

Précisons qu'il en existe une version théâtrale, vue il y a deux ou trois ans, et qui était déjà remarquable.

Un tour de force, une performance en 80 pages, mais pas ceux d'un "hercule de foire", oh non, car nourris de l'inventivité et du regard d'un véritable et grand écrivain.